Le whisky occupe une place de choix dans la gastronomie de nombreux peuples, il peut s’accorder avec divers mets tandis que le fromage à la variété infinie est un des aliments le plus connu au monde. On s’accorde à dire que l’association du fromage et du whisky est une véritable histoire d’amour. En effet, le whisky peut s’accorder avec plusieurs mets, de même le fromage, mais un accord entre le whisky et le fromage, qui l’aura soupçonné. Découvrez dans cet article l’idylle parfaite de ces merveilles.
Comme beaucoup de gens, vous ne vous dotez pas qu’il est possible d’associer whisky et fromages, mais une fois que vous l’aurez testé, cette association ne peut être qu’une évidence. Toujours associé au vin, le fromage peut s’accorder à merveille avec le whisky. Selon les multiples aspects du fromage : pâte et mêlée, pâte cuite, croûte tantôt colorée, tantôt lavée, il trouve dans le whisky un allié parfait. C’est aussi le cas de whisky. Un fromage de bonne qualité rehaussera sa valeur, qu’il soit tourbé, iodé, herbacé ou floral. Plus le whisky est solide et vigoureux, mieux il s’unit avec des fromages forts. Par exemple : les whiskies tourbés qui sont très intenses s’uniront avec les fromages comme le saint-Nectaire ou le Roquefort ou Munster, ou de l’Ossau-Iraty.
L’association des whiskys tourbés (c’est-à-dire ayant de goût de terre fumée) et des fromages mélangés avec du persil est un vrai régal. Il est difficile de décrire la sensation gustative que l’on éprouve quand on les déguste. Et qu’en est-il du springbank, whisky qu’on considère expressément comme fermier ? Avec le cantal plein de lait, ils s’associent à merveille comme de vieux amis. Quant aux tourbés, iodés et marins, ils s’accordent, d’emblée avec des fromages bleus et les fromages faites de pâte dure. Pour ce qui est du whisky ayant un caractère délicat et fruité, il s’accorde très bien avec les fromages conçus avec des pâtes molles, crémeuses comme le fromage frais de brebis et chèvre. Il est évident que le whisky et fromages formeront un duo exceptionnel.
Concernant le whisky et fromages, un spécialiste révèle son expérience d’art culinaire. Comment reconnaître un bon whisky ? Il suffit de mettre une goutte de whisky sur la main, la déguster et la flairer comme un parfum. On doit déguster un whisky en fermant la bouche, car faire passer l’air sur une eau-de-vie n’est pas trop commode pour la dégustation. Si on a un whisky difficile à décoder au nez, on peut le mettre dans le frigo. Ainsi, avec la température très bas, vous superposez les arômes qui seront plus faciles à discerner. En ce qui concerne les fromages et les whiskys : c’est le fromage de chèvre qui est le plus appréciés. Il donne un côté légèrement acide et complique les accords.
Breuvage à la fois gourmande et bien convenable pour ceux et celles souhaitant des sensations agréables dans leur corps et leur être, le whisky est un composant essentiel pour la préparation de cocktails. Voici d’ailleurs quelques recettes de cocktails tendances pour ravir les convives lors des fêtes et soirées.
Les cocktails à base de whisky, il y en a pour tous les goûts. Les barmen rivalisent de talents pour la préparation de cocktails alcoolisés. Parmi les recettes restant tendances, même après plus de 500 ans d’existence, puisqu’inventée en 1766, le « Whisky Sour » est bien incontournable. Pour l’élaboration d’un cocktail Whisky Sour, Il faudra 5 cl de Whisky bourbon, 2 cl de sirop de canne à sucre et 1 citron bien juteux. Presser le citron et verser dans un shaker, avec le whisky et le sirop de canne à sucre. Mettre quelques glaçons dans le shaker et frapper vigoureusement. Il suffit ensuite de verser le tout dans un verre adapté. Pour que ce cocktail soit bien frais et captivant, il ne faut pas oublier les glaçons. Il est d’ailleurs possible de mettre quelques glaçons dans le verre avant de verser le cocktail.
Les japonais excellent dans l’art d’élaborer des cocktails à base de whisky. Il existe d’ailleurs maints cocktails délicieux et bien célèbres qui viennent du Pays du Soleil Levant. Dans cette catégorie, il y a par exemple le cocktail Perfect Nikka Manhattan. Pour concevoir un cocktail Perfect Nikka Manhattan, il faut tout d’abord 6 cl de Whisky Nikka Coffey Grain et un trait de boisson alcoolisée Angostura bitters. Il faudra également 1,5 cl de vermouth sec et 1,5 cl de vermouth rouge. Rien de plus facile quant à la préparation de ce cocktail. Il suffit juste de mettre tous les ingrédients dans un verre facile à remuer. Une fois cela fait, il faut verser le mélange dans un verre déjà rafraîchi avec soin. Pour la présentation et pour rehausser la saveur, une cerise à cocktail et un zeste de citron sont les bienvenus.
Le cocktail Wapplesky fait partie des incontournables pour ceux et celles qui sont en quête de cocktails à base de whisky authentiques et tendances. Il s’agit notamment d’un cocktail moyennement fort, convenable pour ces dames souhaitant une boisson alcoolisée savoureuse, facile à avaler et qui procure cette sensation d’étourdissement modéré. Les ingrédients nécessaires pour la conception d’un cocktail Wappelsky sont 5 cl de whisky écossais, 2 traits de la fameuse boisson alcoolisée Angostura Orange Bitters, 1,5 cl de sirop de miel et 2,5 cl de jus de pomme. Pour ce qu’il en est de la préparation, mettre tous les ingrédients dans y shaker, verser quelques glaçons et frapper vigoureusement. Il convient ensuite de mettre quelques glaçons dans un verre à whisky et y verser le mélange. À servir bien frais !
Apparemment, la production du whisky implique le passage à diverses étapes essentielles. Entre autres, parmi lesquelles, il y a lieu de mentionner le broyage du malt à l’aide du moulin à grain. Il vient, par la suite, le brassage du mélange eau-malt avec le rajout de la levure aux fins de l’obtention de la fermentation du jus sucré ainsi constitué. Après la formation de l’alcool et du gaz carbonique au sein de la production au bout d’un certain temps, la distillation s’effectue à l’aide d’un alambic approprié. Tout de suite, après la récupération et le refroidissement du condensat, la phase du vieillissement d’un whisky commence.
Chacune de ces phases incluses dans l’élaboration de cette catégorie d’eau-de-vie détient un rôle spécifique bien précis dans le processus de fabrication du whisky. Notamment, durant la phase du vieillissement d’un whisky, il se transforme graduellement en texture tout en enrichissant les arômes. Bien entendu, divers facteurs externes ne manquent pas d’influencer à la bonne réussite de ce processus de fabrication de whisky. À vrai dire, au cours de cette période, le whisky inspire les arômes du bois du récipient qu’il renferme. En plus, il accapare ceux provenant de la lente oxydation de l’alcool sous l’action de l’air ambiant contenant l’intérieur du fût.
Dans le cadre d’un vieillissement d’un whisky, il convient de notifier un certain nombre d’éléments incontournables qu’il ne faut pas minimiser. Pratiquement, la température, l’humidité, la circulation de l’air ainsi que la présence d’un milieu de culture microbienne adéquate au sein du lieu de stockage favorisent, dans une certaine mesure, le déroulement de la maturation de la production. D’autant plus, selon la réglementation européenne, un vieillissement de whisky d’au moins de trois ans en fût de chêne reste prescrit pour un single malt.
Certainement, au fil des temps, il s’est aperçu que les fûts constituent pour les producteurs de whisky de véritables pièces maîtresses dans le processus de la maturation de leur production. En effet, le séjour d’un whisky à l’intérieur d’un fût ayant initialement des contenus alcoolisés permet la formation des arômes beaucoup plus caractéristiques à l’eau de vie. Il en est de même pour la synthèse d’une coloration bien ferme propre au whisky sans perdre de vue l’acquisition de la texture du produit. Dans cette optique, les whiskies sont ultérieurement vieillis en fûts ayant été utilisés précédemment pour le stockage d’un vin, ou d’une autre eau-de-vie, à l’instar des fûts de Bourbon. Dans un fût, le whisky peut être conservé aussi longtemps que possible, mais, c’est au distillateur de décider à quel moment il est bon d’arrêter la phase de la maturation
Le whisky est une boisson de luxe. Dans la majorité des cas, il est servi aux invités d’honneur, mais ça n’empêche pas sa consommation dans les bars standards. La fabrication d’un bon whisky nécessite plusieurs étapes-clés, à suivre à la lettre pour avoir un résultat exceptionnel. Le whisky écossais ou le scotch whisky nécessite un processus particulier qui est le maltage. Il permet d’accélérer le processus de germination de l’orge. Le maltage du shisky se déroule principalement dans une distillerie industrielle pour avoir une bonne qualité.
La fabrication d‘un whisky est un processus ancien, mais de nombreux perfectionnements ont été réalisés pour avoir un taux de production efficace. Le maltage de l’ancien temps prend plusieurs jours, voire des mois avant d’avoir des résultats. Les producteurs se sont rués vers le maltage industriel, avec comme première étape le trempage. L’avantage de cette industrialisation est une production constante dans les délais les plus brefs. L’opération consiste à tremper les graines d’orge riche en amidon dans l’eau, avec une bonne aération pour garantir un bon développement des graines. L’eau et l’air vont favoriser la germination des graines, et ainsi obtenir le maximum de principe actif, nécessaire pour la suite de la fabrication. Ce procédé se déroule sur quelques jours, la durée est déterminée par la distillerie.
Cette étape du maltage dure environ 5 jours. Les graines d’orge obtenues après le trempage sont traitées par un autre processus. Pour la germination, il est indispensable d’avoir un tambour avec une aération à température contrôlée, pour assurer une bonne humidification des graines. Durant la germination, l’amidon se libère, cet élément sera transformé en sucre plus tard. La paroi cellulaire présente dans une graine d’orge se transforme en maltose, une enzyme qui va transformer l’amidon en sucre soluble, idéal pour la fermentation. Mais il faut faire attention au moment de la germination, car une germination complète des graines va affecter la qualité du whisky. Ainsi un bon maltage du shisky nécessite l’expérience absolue d’un bon fabricant de whisky.
Le séchage est une étape qui se passe à la fin du maltage du shisky. Les graines d’orge seront traitées pour préserver le sucre avant d’aller à la distillerie. Les graines d’orge sont chauffées et séchées. Dans les distilleries anciennes, le fabricant utilise un four fermé pour sécher l’orge, avec un feu de tourbe, et des brûleurs pour le séchage des graines. Les distilleries modernes, quant à elles, utilisent de l’air chaud pour le séchage. Ces distilleries sont équipées de bonbonnes de gaz qui assurent la production de l’air chaud. Le goût du whisky dépend principalement du processus de séchage.
Le rhum est une boisson alcoolisée. Il faut suivre un processus de fabrication pour parvenir à le faire. Pour se différencier des autres boissons alcoolisées, une distillation doit être faite pour obtenir un rhum. Une matière première est utilisée pour obtenir de l’alcool. À part la matière première utilisée, la distillation est une étape très importante dans sa fabrication. Cet article va parler la manière de faire la distillation du rhum.
Tout le monde peut faire une boisson alcoolisée. Il y a de différents types de boisson alcoolisée. Chacune d’entre elle a sa propre étape pour la fabriquer. Le rhum est une boisson très connue. Surtout, dans les pays froids, il offre à celui qui la boit une sensation de chaleur. Avant de faire n’importe quelle boisson, une matière première est utilisée. Dans le cas du rhum, la canne à sucre est la matière première utilisée pour sa fabrication. Le jus ou le vesou de la canne à sucre ou la mélasse est employé. La mélasse est plus concentrée en sucre. L’industrie sucrière l’utilise pour faire du rhum. Ce jus est ensuite fermenté. Après la fermentation, le produit obtenu est distillé. Avec la distillation du rhum, le bon dosage de l’alcool peut être effectué. La dernière étape est le vieillissement.
Après la fermentation, un certain degré d’alcool est obtenu. Ce degré est bas. Pour avoir un degré d’alcool plus élevé, il faut faire le procédé à la distillation. La distillation du rhum est obtenue à partir du mélange de vapeur d’alcool très concentrée en alcool et de l’eau. Le produit de la fermentation est évaporé. Le produit de l’évaporation contient un concentré d’alcool à très haut degré. La vapeur d’alcool passe par un tube de condensation. Elle se transformera en goutte de liquide. Depuis à un bas degré d’alcool, il monte au fur et à mesure de la distillation. L’ajout d’eau le terminera.
La distillation du rhum se fait de manière à ce que le rhum soit parfait. Sur cette étape de fabrication, la dose de l’alcool peut être réglée. L’étape de la distillation se fait dans de chaleurs. La chaleur fait évaporer les composants volatils qui se trouvent dans le produit issu de la fermentation du jus de canne ou de la mélasse. En effet, il existe de nombreux constituants homogènes dans le produit. La vapeur d’alcool sera vaporisée grâce à la chaleur utilisée pendant la distillation. Une fois vaporisée, elle va donner un produit qui est appelé distillat. La vapeur se condense et donne une gouttelette appelée vin. Plus le vin est concentré, plus le dosage d’alcool monte. À une concentration d’alcool très élevé, le concentré va être rajouté de l’eau jusqu’à l’obtention du dosage souhaité du rhum.
Ces dernières années, le rhum ne cesse de se réinventer de rôles en cuisine étant intégré dans de nombreuses recettes intéressantes à goûter. Desserts, baba au rhum, pâtes et cocktails, il existe plusieurs moyens d’utiliser le rhum en cuisine.
Obtenu à partir de la canne à sucre, le rhum s’associe parfaitement à de nombreuses recettes gourmandes en dessert. Tout comme un condiment rehaussant la saveur d’un plat salé, il rend certaines recettes plus succulentes que d’autres. Ses arômes se marient bien avec des recettes sucrées et vanillées.
De préférence, on choisira un rhum en cuisine plus vieux aux parfums murs afin de donner une meilleure saveur à ses desserts. Comme recette classique de dessert au rhum, il suffit de choisir des fruits exotiques et d’ensuite les parfumer de rhum 2 ou 3 minutes à feu doux en utilisant une simple poêle. Vous pouvez également faire en sorte de les flamber à l’image de la célèbre « banane flambée au rhum ».
Certaines personnes utilisent du rhum en cuisine sans le faire passer sur le feu. En ce sens, il suffit de le rajouter directement dans différents plats variés comme les salades de fruits, la glace créole ou encore les recettes aux raisins secs.
Très certainement la recette au rhum la plus célèbre au monde, le baba au rhum est un incontournable à faire en cuisine. Ce délicieux gâteau moelleux se compose principalement de savarin qu’on imbibe de rhum avant de rajouter de la crème chantilly pour la décoration.
En plus du baba, le rhum en cuisine peut également servir comme ingrédient dans d’autres recettes de pâtisseries, notamment pour la fabrication des pâtes à crêpe et des pâtes à gaufre. Un bouchon rempli de rhum pour une quinzaine voire une vingtaine de crêpes serait amplement suffisant en vue d’obtenir un léger goût parfumé très agréable. Il est même possible d’aromatiser sa crème pâtissière, sa génoise ou son cake aux fruits confits de rhum pour qu’elle devienne plus gourmande et plus appétissante.
Sucrés, colorés ou encore riches en fruits, les cocktails se font de plus en plus désirer ces dernières années. Ils se composent essentiellement de spiritueux aux goûts prononcés comme la vodka, le gin, le whisky ou encore le gin. En rajoutant quelques gouttes de rhum en cuisine dans ses cocktails, on obtient de délicieuses compositions aux goûts prononcés comme le Mojito, le punch cubain, le daiquiri, la pina colada ou encore la caïpirinha.
Que ce soit dans ses cocktails ou dans d’autres préparations culinaires, on peut très bien remplacer le rhum par d’autres ingrédients. C’est notamment essentiel s’il s’agit d’un plat pour enfant ou encore si l’on veut éviter de consommer de l’alcool. Pour vos desserts, il suffit de le remplacer par du jus de fruit comme le jus d’orange ou de fraise. Dans le mojito, il se remplace par du bon concombre mixé.
Le rhum est un dérivé de la canne à sucre. De fabrication agricole ou industrielle, il propose 40° à 60° d’alcool. Alors que vous prévoyez d’organiser une réception professionnelle ou familiale, intégrer le rhum dans votre liste de boissons alcoolisées serait une bonne idée. Découvrez ce guide pour détecter le meilleur rhum adapté aux besoins de vos invités.
Choisir un rhum est une grande problématique pour les non-connaisseurs des boissons alcoolisées. En France, le rhum blanc enregistre le plus grand nombre de consommateurs. Ce rhum clair se démarque de sa saveur très douce. Par contre, il propose un alcool à fort degré.
Plus de 90 % des rhums vendus sur le marché sont de fabrication industrielle. Ce qui signifie que la plupart des marques sont commercialisées auprès des supermarchés et même sur les sites de vente en ligne. En misant sur cette dernière option, il est possible de bénéficier d’une livraison de rhum à domicile. Pour une commande de grande quantité, vous pouvez contacter directement le producteur de rhum de votre région. Si vous souhaitez profiter d’un rhum à goût unique, rien ne vous empêche de rejoindre un spécialiste des spiritueux agricoles.
Si vous prévoyez un menu complet pour votre réception, il faut choisir un rhum favorable pour la digestion. Comme son nom l’indique, le rhum vieux est vieilli à plus de 6 ans. Il s’agit d’un rhum foncé destiné pour les plus robustes. Par ailleurs, une petite quantité sera adaptée pour toutes les catégories de personnes. Du rhum vieux après un bon déjeuner apaisera rapidement l’estomac de vos convives. Le rhum âgé est une meilleure alternative si vous n’arrivez pas à trouver du rhum vieux dans votre quartier. Approprié pour toutes les occasions, il affiche un profil aromatique exceptionnel.
Si vous voulez déguster un mélange de mélasse et de caramel brûlé, essayez le rhum noir. Il accompagnera sans faute vos petits gâteaux et viennoiseries.
La plupart des spiritueux permettent de préparer des cocktails uniques. Si vous voulez servir des boissons à goût exceptionnel pendant votre fête, servez à vos invités un cocktail à base de rhum. Il est vivement conseillé de choisir un rhum ambré. Afin d’obtenir du Ti-punch, vous n’avez qu’à rassembler quelques ingrédients faciles à trouver. Pour 50 cl de rhum ambré, il faut ajouter 5 cuillères de jus de citron vert et 10 cuillères à café de sucre de canne. Ce mélange doit être dégusté avec des glaçons.
Le type de cocktail dénommé cactus pourrait également vous intéresser. Il s’agit d’un mélange de 30 cl de rhum ambré avec 100 cl de jus d’ananas. Il est mieux d’ajouter 30 cl de curaçao bleu. Si vous n’avez pas assez d’expériences dans la préparation de cocktail, demandez l’aide d’un barman.
Les producteurs de rhum utilisent du vesou de canne à sucre ou de la mélasse, un sous-produit de l’industrie sucrière pour pouvoir fabriquer un rhum. L’endroit qui produit de sucre ou qu’il y a une culture de canne à sucre est parfois l’endroit qui produit du rhume. Les industries sucrières produisent souvent du rhum à partir de la mélasse. Les zones de production de rhums sont nombreuses. Il est utile de connaître l’origine du rhum et les régions qui les produisent.
Toute chose a son origine. Il n’est pas du tout connu qui a inventé le rhum. Mais la canne à sucre est originaire d’Asie. Ensuite, elle s’est introduite en Arabe. Les Espagnoles la mènent en Amérique. Le père Labat décrit le processus de fabrication du rhum en France. Avant cela, il est déjà connu l’existence de rhum dans les pays anglophones. Les producteurs de rhum l’utilisaient comme une sorte de médicament. Il est utilisé sur le navire. Le rhum est très valeureux pour les pays Africains avant. Il a été utilisé comme une monnaie d’échange pour la traite d’esclave. Les Noirs, les pirates, les écumeurs sont les plus souvent qui le boivent. Ensuite, il s’est répandu dans l’Europe et l’Amérique du Nord.
Dans les régions qui cultivent de la canne à sucre, le rhum n’est jamais loin. Les régions les plus connues pour la production du rhum sont les régions de Caraïbes. Les pays comme l’Amérique latine et l’Amérique centrale sont les pays qui produisent du rhum que ce soit en petite échelle ou en grande échelle. Certaines îles sont aussi connues pour sa production. Dans la zone de l’océan Indien, le climat du pays est favorable à la production de canne à sucre. Madagascar, La Réunion, l’île Maurice font partie des îles d’Afrique qui produisent de Rhum. Madagascar est le seul pays d’Afrique qui fait du rhum. Il existe de nombreuses régions qui font de la boisson alcoolisée à partir de canne à sucre. Louisiane aux Etats-Unis, Inde, Espagne, Portugal et Australie sont tous des pays qui ont des producteurs de rhum.
À chaque région, il y a de différents styles de rhum. Les producteurs de rhum font en sorte de mettre une particularité. Le rhum de style français est produit par les Antilles Françaises. Dans la zone française, il existe du rhum blanc, ambré et vieux. Le rhum de style anglais est souvent du rhum vieux. Le rhum blanc ne pas tellement produit. Le rhum de style anglais est très aromatisé. Le rhum blanc du style espagnol est pareil que pour le style anglais. Les Espagnoles produisent plus du rhum blanc. Le rhum brésilien cachaça est très bon. Il peut être trouvé sur le marché local.
Le rhum est une eau-de-vie originaire élaborée à partir de la canne à sucre ou d’un résidu issu de l’industrie sucrière. Il est consommé blanc, vieilli en fût ou ambré. Selon les composants utilisés lors de sa fabrication, il peut être appelé rhum agricole ou rhum de mélasse. En effet, la canne à sucre, une plante qui résiste au froid, est devenue le principal composant des différents rhums. Quelle est la particularité d’un rhum blanc, d’un rhum ambré et d’un rhum vieilli ?
Qu’ils sont de natures agricoles ou traditionnelles, les rhums blancs sont la base essentielle pour la création de divers cocktails et punchs. Pour certains rhums blancs, le degré d’alcool est plus de 40 %. Après distillation, ils sont placés dans des cuves en inox durant plusieurs semaines. Dans cette phase, ils sont brassés, afin d’améliorer leur arôme, puis les rhums blancs sont additionnés avec de l’eau distillée ou de l’eau de source avant leurs mises en bouteilles.
Les rhums blancs sont alors les rhums les plus jeunes. Pour des cocktails corsés et raffinés, il est conseillé de choisir un rhum agricole, à base de jus de canne à sucre fraîchement pressé. Ces rhums sont souvent fruités et aromatisés. Les rhums traditionnels conçus à base de mélasse, sont utilisés de préférence pour préparer des rhums arrangés fait maison.
Les rhums ambrés sont en général des rhums blancs, qui sont reposés d’une durée de 12 à 24 mois dans une foudre de chêne. Les différents rhums ambrés sont parfois usés en guise de composant des cocktails parfumés et colorés. Ce sont des rhums d’une saveur délicieux et qui apportent beaucoup de subtilité.
Le rhum ambré trouve donc une place importante dans l’élaboration du rhum arrangé. Comparé avec le rhum blanc agricole, le rhum ambré détient 20 % d’alcool de moins que dans ce genre de rhum. Il est beaucoup moins alcoolisé !
D’une manière générale, la couleur ambrée ou caramel du rhum provienne des fûts de chêne dans lesquels le rhum est macéré. Le rhum ambré peut être vieilli durant une année ou une année et demie afin d’être haut de gamme, meilleur et de qualité. C’est un rhum spécialement adapté à l’élaboration des cocktails. Cependant, les rhums vieux sont les plus compliqués. Pour savoir l’âge du rhum, seuls les temps passés dans les foudres de chênes comptent, car il cesse de vieillir et se stabilise lors de son embouteillage.
Les différents rhums ont donc leurs particularités. Les rhums blancs sont placés 3 mois dans des foudres en chêne, ce sont les plus jeunes. Les rhums ambrés restent 18 mois dans des fûts, tandis que les rhums vieux de 3 à 6 ans. Chaque rhum détient une saveur unique !
La culture de la canne à sucre prend un grand essor. Elle est à l’origine cultivée pour fabriquer du sucre. Cependant, il est désormais difficile de parler du rhum sans évoquer la canne à sucre, qui est devenue son principal composant. Effectivement, le rhum s’élabore soit à partir du jus de canne à sucre pressé ou par de la mélasse. La fabrication du rhum suit un processus bien défini.
Lors de la fabrication du rhum, il existe divers composants :
Durant la fabrication du sucre, le jus de canne est chauffé pour obtenir de cristaux. Dans cette phase, l’eau s’évapore et il reste un résidu solide chargé en sucre. C’est la mélasse ! Elle peut être alors diluée dans de l’eau, mise à fermenter durant 24 heures ou 12 jours pour les rhums du type grand arôme.
Le rhum agricole est fait avec du jus de canne à sucre fraîchement pressé. En suite, ce jus est mis à fermenter pour une durée de 2 à 3 jours, puis additionné de levure sauvage. Il en résulte un vin de 5 à 6° qui va être distillé.
Il est également possible de préparer un rhum à partir de miel de canne ou de sirop de canne.
Que ce soit pour la fabrication du rhum de sucrerie ou agricole, les rhums peuvent être réduits avec de l’eau de source afin d’atteindre 40° pour les rhums légers, vieux ou blancs et de 55° pour le rhum blanc agricole. Pour avoir plus de succès, le rhum de mélasse est souvent teinté.
Pendant la période de vieillissement en foudre, le rhum a des effets soustractifs, additifs et interactif. Ce procédé s’effectue dans des foudres de chêne ou dans des fûts. Les vieux rhums se savourent secs, mais le rhum blanc est un ingrédient pour créer des cocktails. Il existe donc plusieurs points communs entre le rhum agricole et le rhume de mélasse.
Il y a de nombreux styles de rhum :
Pendant la fabrication du rhum, il est donc évident que la canne à sucre tienne une place primordiale !
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